Ainsi que ceux qui abordent le thème féminin, en commençant par la danse :
6°/Quand ma Beauté intérieure devient Lumière,
7°/Etre de Lumière,
8°/ Moments au bord de l’Invisible,
9°/ Danse du paradis aux sept dons,
10°/Voix et lueurs lustrales,
11°et 12°/ que seraient mes rêves s’ils trouvaient grâce à vos yeux,(œuvres légères présentées à un Jury qui ne leur trouva point tant de grâces que çà…)
Puis l’auteur se glissa dans le triptyque que lui offrait le format plein écran 16/9ème:
13°/Enluminures de Grâce,
14°/Rorate Caeli Desuper, (panorama d’une exposition internationale à Montréal au Québec, dont l’auteur en fut l’invité d’honneur, où il aborda en langage symbolique sa vision de la relation intime entre le féminin et le divin. A chacun d’y retrouver les références glanées dans les Ecritures où le féminin se voile ou se dévoile. (C’est le sens premier du mot Apocalypse, = dévoilement)
15°/« es sei uns dein gnädiges Antlitz erfreulicht », de la Cantate BWV 78, de Jean-sébastien BACH